Inauguration de l’hypermarché PlaYce: satisfaction totale chez les Yaoundéens
Ils ont livré leurs avis ce 5 juillet 2022
Même la pluie qui s’est abattu sur le site n’a pas eu raison de la détermination des uns et des autres invités. L’engouement de découvrir le plus grand centre commercial d’Afrique Centrale était au rendez-vous. Le premier à être émerveillé par l’implantation de PlaYce au Cameroun, est le président de la République, de l’aveu de son représentant personnel, le ministre d’Etat Ferdinand Ngoh Ngoh. Il déclare que «le Cameroun est une terre où il fait bon investir, il fait bon vivre!» C’était lors de son allocution pendant qu’il présidait la cérémonie d’inauguration de l’enseigne de grande distribution.
Les personnalités
Le ministre chargé de mission à la présidence Philippe Mbarga Mboa était présent sur le site. Et tout à son émotion, il exprime sa joie. « Je découvre la nouvelle enseigne commerciale et je suis très satisfait« , affirme le ministre natif. C’est également le même élan de joie pour le maire de la commune d’arrondissement de Yaoundé II, Yannick Ayissi. Ce dernier déclare que «notre commune est de plus en plus visible, sans oublier les emplois créés et les impôts que nous prélèverons». Par la voix de sa Majesté Paul Zibi Edoa, les chefs traditionnels de Yaoundé II tiennent à remercier le groupe CFAO pour avoir choisi Yaoundé II pour implanter le site. Quant à l’écrivaine Calixte Beyala, elle se dira «tout simplement émue».
Les populations
Du côté des autres invités, c’est également le sentiment de joie que l’on voit s’exprimer. Patrick et Jules, deux jeunes qui travaillent dans l’hypermarché vont plus loin. «Le chômage est fini pour moi, les Camerounais peuvent venir, tout le monde peut trouver son compte. Seules les voitures manquent ici», tout sourire évoque l’un des deux. M Christian, français vivant à Yaoundé, se dit heureux de se retrouver désormais chez lui en France, «c’est très très bien fait, net comme chez nous, c’est bien achalandé et je ferai désormais mes emplettes ici», révèle l’expatrié.
André Gromyko Balla
