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Laurent Serge Etoundi Ngoa

Les écoles primaires et maternelles privées du Cameroun sont en effervescence. Certains responsables y grincent des dents tandis que d’autres réajustent leurs plans. Et pour cause, ils sont tenus par le ministre de l’Education de base, Laurent Serge Etoundi Ngoa, de s’en tenir à l’observation du Smig pour ce qui est de la rémunération de leurs personnels enseignants à partir de la rentrée scolaire 2023- 2024. Soit une somme minimale de 60 000 FCFA pour chaque enseignant.

Les retombées de la récente décision ne se font pas entendre. Certains établissements procèdent déjà au réajustement de leurs effectifs. Réduction oblige. Ailleurs, l’équation est vite résolue. Une augmentation des frais de scolarité est mise en œuvre pour tenter d’équilibrer les charges inhérentes à la réglementation. Laurent Serge Etoundi Ngoa s’illustre ainsi par la quête de l’amélioration des conditions de travail des personnels de son ressort; conformément à la mesure prise depuis un an par l’administration du travail de porter le smig de 38 000 FCFA à 60 000 FCFA.

Pendant ce temps, au ministère de l’Enseignement secondaire, l’heure est à la recherche de solutions pour améliorer « de manière significative les résultats aux examens officiels » et « d’assurer au maximum le taux de couverture des enseignements » dès cette année scolaire. Et pour ce faire, la ministre Nalova Lyonga met un terme au service de mi-temps observé dans les lycées depuis la survenue du coronavirus en 2020. Les effectifs de 50 élèves par classe sont toutefois maintenus.

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