Home ENTREPRISE A l’OBC : 1er mai, mention très spéciale

A l’OBC : 1er mai, mention très spéciale

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OBC, la fête était belle.

Dans le cadre de la fête du Travail, les employés et le staff dirigeant de l’Office du Baccalauréat du Cameroun (OBC) parcourent les acquis en vue de mieux affronter d’autres défis.

Dénicher l’inconnu dans l’ordinaire, c’est précisément ici le pari des personnels de l’OBC. S’adonner aux plaisirs de la musique et des blagues, s’amuser sans freins et sans remords… A l’OBC, ce 1er mai 2025, c’est un grand jour. En observant des collègues phosphorer ensemble autour d’un buffet et d’une cave garnis, rien n’offre une référence directe au calme que dégagent souvent les bureaux de l’OBC.

Aller de l’avant
Dans cet hôtel (sis au lieu-dit Mbog-Abang à Yaoundé) réservé par l’institution, ce qui se passe et se déploie à travers les concours de danse entre directeurs et chauffeurs, sous-directeurs, chefs de bureau et employés subalternes révèle les codes cachés d’un climat social paisible à l’OBC. Au gré d’une simple plongée dans le passé, le directeur de l’OBC, Etienne Roger Minkoulou, se satisfait de l’ambiance du jour. Dans un discours improvisé, il félicite le travail remarquable des hommes et des femmes engagés dans l’organisation des examens officiels. Il signale la mise en application de la décentralisation dans l’organigramme de l’OBC. Il laisse entendre que le processus a conduit à la création et la mise en service immédiate de dix antennes régionales, réparties sur l’ensemble du territoire national. « Elles n’ont d’ailleurs pas eu besoin beaucoup de temps pour que les premiers résultats se manifestent sur le terrain », relève-t-il.

Pour la suite, le directeur général de l’OBC rappelle le bien-fondé de la fête du Travail. Celle-ci, à l’en croire, est à la fois autocritique et projective. C’est tout le sens du message qu’il s’emploie à consigner dans les mémoires de ses collaborateurs. « Que chacun soit une ampoule afin de briller tous ensemble et avoir une session d’examen 2025 réussie. Sur les cendres de la session 2024, nous devons déjà bâtir le plan d’action de la session 2025», exhorte-t-il. En bon pédagogue, Etienne Roger Minkoulou explique que tout cela passe par la capitalisation des acquis pour les échéances de fin d’année scolaire 2024/2025.

André Gromyko Balla  

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