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Étiquette : Tradex
Renouvellement du parc de bouteilles à gaz : Tradex injecte plus d’un demi-milliard de FCFA
Le montant permet à l’entreprise pétrolière d’acquérir 38 100 nouvelles bonbonnes de gaz à usage commercial.
Tradex S.A veut renouveler et augmenter son parc de bouteilles à gaz. Pour cela, apprend-on d’une annonce qu’elle a publiée récemment, elle s’est tournée vers le Turc Evas Ev Aletleri San A.S, une entreprise basée à Sanayi Mah en Turquie. C’est cette structure qui est chargée de fournir au pétrolier camerounais une quantité de 38 100 bouteilles de gaz butane de 12,5 kg. Le montant de la prestation est fixé à 534,6 millions de FCFA. Ces bouteilles de gaz, ventilé sous la marque « TradexGaz », sont spéciales. À l’opposé de d’autres couramment trouvées sur le marché camerounais, elles ont la particularité d’indiquer à l’usager son niveau de consommation. Ce renouvellement du parc des bouteilles chez Tradex pourrait régler le problème de la vétusté de l’offre existante. Car les bouteilles sur le marché sont dans un état de vieillissement avancé.
Il est acquis que cette opération va augmenter le nombre de bouteilles à gaz de l’opérateur. Selon les dernières données publiées par l’entreprise, Tradex a distribué 12 500 bouteilles de 12,5 kg en 2018. Au cours de l’année 2016, cet opérateur du secteur pétrolier revendiquait la vente de 4 994 tonnes métriques (TM) de gaz. Devenu un acteur incontournable du marché, les ventes de gaz domestique de Tradex ont atteint 97 952 tonnes en 2018, selon les propres statistiques de l’entreprise. Après des activités dans le soutage maritime et la distribution des produits pétroliers finis, cette filiale de la Société nationale des hydrocarbures (SNH) est arrivée sur le marché du gaz domestique au Cameroun en avril 2013, avec une première cargaison de 30 000 bouteilles disposant d’un compteur de consommation.
Les performances positives de Tradex Cameroun S.A proviennent du bon comportement commercial de ses différents produits. Ainsi, l’entreprise annonce avoir commercialisé 597 158 m3 de carburants. Ce chiffre était de 145 000 m3 en 2016. Le gaz de pétrole liquefié (Gpl) communément appelé «gaz domestique» a connu des ventes à hauteur de 97 952 tonnes en 2018.
OZB
Systèmes d’information : Tradex mise sur la stratégie et la gouvernance
Un appel à manifestation d’interêt lancé du 1er au 17 septembre 2020.
Tradex S.A ambitionne de mettre en œuvre son Plan de continuité d’activité. L’entreprise a émis un avis d’appel à manifestation d’intérêt (AAMI). Ce dernier a pour objet la présélection des entreprises spécialisées dans le conseil en stratégie et gouvernance des systèmes d’information et d’entreprise ayant une expérience avérée dans le métier. La participation à cet appel est ouverte aux entreprises spécialisées dans le conseil en stratégie et gouvernance des systèmes d’information et d’entreprise et ayant des capacités administratives, techniques et financières suffisantes.
Les postulants devront fournir les pièces ci-après, présentées en deux plis (Pli A et Pli B), rédigées en français ou en anglais, produites en sept (7) exemplaires, dont un (01) original et six (6) copies marqués comme tels, contenus dans une enveloppe fermée et scellée, ne comportant ni cachet ni indication sur l’identité du candidat. Le candidat présentera les références tout en précisant la liste de son expérience pour les prestations prévues dans le présent AAMI au cours des trois (3) dernières années.
Pour être validée, chaque référence devra être justifiée par les éléments suivants: le nom du maitre d’ouvrage; les copies des extraits des contrats signés (première et dernière pages) ou de la lettre de mission; le lieu d’exécution, le montant et la durée; la copie du procès-verbal de réception ou du certificat de bonne exécution délivrée par le maitre d’ouvrage concerné ou une attestation de continuité du projet signée par le maitre d’ouvrage.
Les dossiers de manifestation devront être déposés à la direction générale de Tradex S.A. B.P.: 1468 Douala, Rue Christian Tobie Kuoh, tél.: (237) 333 43 63 75 — (237) 333 43 63 76 au plus tard le jeudi 17 septembre 2020 à 10 heures précises, heure locale. Les plis doivent être présentés dans des enveloppes séparées, marquées comme telles, et placés dans une enveloppe fermée portant la mention suivante:
«À l’attention de monsieur le directeur général de Tradex S.A appel à manifestation d’intérêt n° 001/ ami/ cipm-tradex/ 2020 du 31 août 2020 relatif à la présélection des entreprises spécialisées dans le conseil en stratégie et gouvernance des systèmes d’information et d’entreprise»
«Confidentiel. À n’ouvrir qu’en séance de dépouillement».
Des informations complémentaires peuvent être obtenues aux heures ouvrables auprès du secrétariat de la Cellule des Marchés de Tradex SA. Tél.: 675 29 40 71, ou à l’adresse cma@tradexsa.com.Fondée en 1999 par la Société nationale des hydrocarbures (SNH) en partenariat avec des investisseurs privés, Tradex est une entreprise spécialisée dans la commercialisation des produits pétroliers. Spécialisée, à sa création, dans le négoce pétrolier, Tradex couvre aujourd’hui un champ d’action qui intègre la distribution des produits pétroliers, le soutage maritime et aviation, le trading. De son siège social à Douala au Cameroun, Tradex conduit une politique d’expansion sous-régionale ambitieuse qui lui permet de couvrir, depuis 2004, le Tchad, la Centrafrique et la Guinée Équatoriale. Compagnon des ménages, Tradex agit en partenaire auprès des industries, auxquelles elle apporte une expertise africaine aux standards internationaux.
Bobo Ousmanou
Recyclage des bouteilles à gaz domestique : Tradex S.A joue sa partition
Dans un avenir proche, l’entreprise compte mener une opération de requalification et de peinture des bonbonnes à Yaoundé, Douala, Bafoussam et Garoua.
Tradex S.A. veut redonner un aspect neuf à ses bouteilles à gaz domestiques mises sur le marché depuis 2013. Pour ce faire, l’entreprise vient de lancer un appel d’offres national en prélude à la sélection d’un adjudicataire. D’après une annonce parue dans la presse locale en début de la semaine dernière, le cahier prévoit plusieurs prestations. Le document cite, entre autres, le transport des bouteilles des magasins Tradex au centre de réépreuve, le dégazage, les contrôles de fuite et de déformations sur les bonbonnes, le sablage, l’application de la peinture.
Pour ce marché, exécutable dans les villes de Yaoundé, Douala, Garoua et Bafoussam, la commission interne de passation des marchés de Tradex S.A dit être guidée par des critères éliminatoires et ceux d’évaluation d’offres techniques. Ladite commission précise que «le marché va être attribué au soumissionnaire présentant l’offre la moins disante et remplissant les capacités techniques et financières requises». Le 27 septembre 2020 est la date de dépôt des dossiers de soumissions par les prestataires. Selon les critères d’évaluation, les bénéficiaires auront droit à un délai d’exécution de cinq mois pour ce qui est des lots de Yaoundé et Douala; deux mois pour Bafoussam et Garoua.
Par l’entremise de la Société nationale des hydrocarbures (SNH) et des investisseurs camerounais et étrangers, la société de trading, d’exploitation de pétrole brut et de produits pétroliers Tradex S.A, organise le 8 septembre prochain une rencontre par téléconférence. «La réunion devra donc permettre de fournir des éclairages sur toutes les questions d’ordre technique, lesquelles sont attendues sous forme de courrier dans un délai de trois jours avant cette rencontre», apprend-on. Tradex a développé et mis sur le marché en 2013, Tradex Gaz, sa propre marque de gaz domestique, commercialisée en 3 conditionnements:
une bouteille de 2,75 kg, surmontée d’un bruleur; une bouteille de 12,5 kg et une bouteille de 50 kg.Fondée en 1999 par la Société nationale des hydrocarbures (SNH), en partenariat avec des investisseurs privés, Tradex est une entreprise spécialisée dans la commercialisation des produits pétroliers. Spécialisée, à sa création, dans le négoce pétrolier, Tradex couvre aujourd’hui un champ d’action qui intègre la distribution des produits pétroliers, le soutage maritime et aviation, le trading.
De son siège social à Douala au Cameroun, Tradex conduit une politique d’expansion sous-régionale ambitieuse, qui lui permet de couvrir depuis 2004, le Tchad, la Centrafrique et la Guinée Équatoriale. Compagnon des ménages, Tradex agit en partenaire auprès des industries, auxquelles elle apporte une expertise africaine aux standards internationaux. Cette entreprise opère dans un réseau de stations-service en croissance, qui couvre près de 50 villes et villages du Cameroun, de la République centrafricaine, du Tchad et de la Guinée Équatoriale. Ce maillage pertinent de la sous-région lui permet d’accompagner avec efficacité et de satisfaire les attentes des investisseurs qui parient sur le golfe de Guinée pour leur développement.
Jean-René Meva’a Amougou
L’OAPI récompense Tradex
L’entreprise camerounaise Tradex a reçu, le 13 avril dernier, le prix de la marque régionale 2019. C’était à Abidjan en Côte d’Ivoire, à l’occasion de la deuxième édition des Awards de la marque OAPI, organisée par l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI).
Pour l’OAPI, le prix de la marque régionale récompense l’entreprise d’un État membre dont la marque est fortement distinctive et connaît une expansion sur le marché régional OAPI, à travers l’exploitation de ses produits ou services. L’entreprise camerounaise Tradex s’est distinguée par une forte percée dans le marché régional de l’Afrique centrale, notamment dans des pays membres de l’OAPI (Cameroun, Centrafrique, Guinée-Équatoriale et Tchad). Tout s’est fait avec une qualité appréciable de service et de produits. À travers ce prix, l’OAPI prime un bon élève de la protection industrielle en général, et de la protection des marques en particulier. Cette édition des Awards de la marque OAPI avait pour thème «Protège ta marque et démarque toi de la concurrence».
À Abidjan en Côte d’Ivoire, le directeur général de Tradex, Perrial Jean Nyodog, a reçu le prix des mains du président du conseil d’administration de l’OAPI. À travers cette récompense, Tradex donne davantage de contenu à son slogan «Notre philosophie fait de notre entreprise un accélérateur de développement».
Alain Biyong
Lutte contre la corruption : Tradex et Guinness font figure d’exemples
Les deux multinationales disent avoir réduit ce fléau en interne.
Le panel face à la presse De concert avec la communauté internationale, le Cameroun a célébré, le 9 décembre dernier, la journée internationale de lutte contre la corruption. En prélude à l’événement, la Business Coalition pour la bonne gouvernance, Tradex et Guinness se sont présentées à la presse le 4 décembre 2018. L’objectif de ces mastodontes était d’expliquer les méthodes mises sur pied pour éradiquer la corruption au sein de chacune de ces entreprises. Toutes choses qui corroborent avec la volonté des Nations unies: «Nous ne pourrons atteindre les objectifs de développement durable d’ici 2030 que si toutes les nations disposent d’institutions fortes, transparentes et inclusives, basées sur la règle de droit et soutenues par le public», déclare Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU.
Jean Perrial Nyodog, président de Business Coalition for Good Governance (BCGG) et directeur général de Tradex, se rappelle qu’il y a quelques années, «notre pays a été indexé comme le pays le plus corrompu au monde, dans un classement international. Il fallait réagir. Depuis lors, beaucoup d’actions sont entreprises par les pouvoirs publics pour réduire le taux de corruption dans notre pays. Les hommes d’affaires ont pensé aussi à lutter à leur niveau contre ce fléau». Dans cette optique, la BCGG a établi un mode de conduite et un code éthique à respecter au sein des entreprises et des PME membres.
À Tradex, le directeur général précise la stratégie : «nous avons commencé en 2014 par définir un code de conduite, et nous avons mis en place une équipe chargée du contrôle de conformité et des pratiques d’éthique. En 2015, nous avons déployé des stratégies pour nous assurer que nos partenaires, le personnel, agissent en conformité avec tout ce que nous avons mis en place. Pour déployer ce programme, nous avons commencé par la formation et la sensibilisation de tous les collaborateurs.
Une équipe à était mise en place, chargée de recevoir toutes les informations des pratiques qui ne rentrent pas dans notre code. Nous avons également mis en place des outils pour détecter ce qu’il se passe, savoir qui respecte ou ne respecte pas le code. Au terme de cette étape, il y a une phase de sanction négative et positive pour ceux qui respectent la conformité.» Raison pour lui de se vanter de diriger une multinationale «où le niveau de corruption est à zéro» et d’annoncer sa détermination à continuer cette lutte. «Nous sommes déterminés à remporter cette guerre».
L’approche est différente à Guinness. De son directeur général, Kirore Kimani Mwaura, on apprend que l’entreprise met l’accent sur l’enquête de moralité des collaborateurs. «Nous n’encaissons pas de paiement cash, parce s’il n’y aura pas de traçabilité, et ça favorise la corruption. Nous ne payons jamais les gens dans les comptes inconnus. Nous refusons les pots-de-vin. Il y a un code de bonne conduite que chaque employé signe annuellement, y compris moi», expose Kirore Kimani Mwaura.
«En matière de bonne gouvernance, les gouvernements, le secteur privé, les organisations non gouvernementales, les médias et les citoyens du monde entier unissent leurs forces pour combattre ce fléau. Nous sommes convaincus que si nous réduisons aujourd’hui la corruption qui peut passer par les entreprises, nous aurons touché suffisamment d’acteurs qui sont liés à la corruption», assure Jean Perrial Nyodog, pour inviter les chefs d’entreprises à rejoindre la coalition, qui compte déjà 140 membres inscrits sur 400 sociétés répertoriées.
La vision de BCGG est de créer au Cameroun un environnement commercial dénué de corruption. Il a pour mission d’évaluer et de communiquer sur les avantages économiques et commerciaux d’un climat économique sans corruption, et changer progressivement l’état d’esprit le plus répandu de toutes les parties prenantes.
Alain Biyong