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« Trop c’est trop » !: le cri de douleur du Dr keye Ndogo, diplomate camerounais abandonne en France, depuis huit ans, sans moyens et aujourd’hui prive, même de prépensions !

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Le Dr keye Ndogo saluant le chef de l'Etat S.E Paul Biya

Et, urgence signalée, le voilà à la recherche de solutions, pour contourner le mal profond qui sévit au Ministère des Finances et qui plombe ses paiements attendus. Aussi, en appelle-t-il aux citoyens, à commencer par S.E. Paul BIYA, Président de la République certes, mais citoyen d’abord, en vue, sous forme de prêts, d’un « préfinancement participatif » de ce que lui doit l’Etat.

Le Dr keye Ndogo saluant le chef de l’Etat S.E Paul Biya

Que faut-il donc faire exactement ? Voici les termes dans lesquels Le Dr KEYE NDOGO explique l’idée simple, mais puissante, qu’il avance :
« Faute d’obtenir des paiements forcés immédiats des « Powers That Be » qui règnent, sans partage, au Ministère des Finances, au mépris des instructions de leurs Ministres et des instructions présidentielles [Voir : « Refus d’exécuter les instructions » ET « Ultime recours aux Autorités »], il faut passer par un « préfinancement participatif, à constituer au titre de prêts » !
Avant de poursuivre : « Il s’agit, ainsi, de contourner les longues procédures judiciaires qui devraient intervenir, en temps opportun et en tant que de besoin ! »

EN ATTENDANT L’HEURE DE LA JUSTICE

Les procédures judiciaires sont longues. Et plus encore dans notre pays. Le Dr KEYE NDOGO le sait. Ses protagonistes en face, aussi. Il s’agit donc de les battre à ce jeu de la justice qui prend des années, réalité sur laquelle ces derniers tablent, sans doute, pour tordre la main aux usagers pressés et qui sont, d’ailleurs, obligés de l’être.

Pressé, compte tenu des urgences, le Dr KEYE NDOGO l’est. Il ne peut pas se permettre d’attendre davantage. Mais, il refuse de céder et appelle Camerounais et citoyens du monde à contribuer à un « préfinancement participatif ». Il faut battre le système. Ce sera le sauver, lui, ainsi que le Cameroun (Voir : « Le MINFI, cet antre des petites Républiques autonomes »).

Le Dr KEYE NDOGO n’est pas en quête d’aumônes. Du tout ! Il sollicite des prêts d’argent. Et il s’adresse ainsi, à titre personnel, à tout citoyen, selon ses moyens : de S.E. Paul BIYA, Président de la République certes, mais citoyen d’abord, jusqu’au dernier Camerounais, en passant par les Ministres, Directeurs Généraux, Parlementaires, « Bayam-sellams », etc…

Evidemment, tout citoyen du monde, touché par la triste saga et le calvaire du Dr KEYE NDOGO, est appelé à mettre la main à la pâte, en vue d’aider, au bout du compte, à la construction plus saine d’un pays qui en a plus que besoin.

Comment cela devrait-il se passer concrètement ? Le Dr KEYE NDOGO met sur la place publique ses comptes bancaires, BNP-PARIBAS en France et BICEC au Cameroun.

Chacun peut y faire un virement, en envoyer copies, par mail, pour enregistrement de la créance, (1) au Dr KEYE NDOGO lui-même (kndogo54@gmail.com) , ainsi (2) qu’à Monsieur Christophe BOBIOKONO (cbobio@gmail.com et cbobio@yahoo.fr) , le Directeur de Publication de l’hebdomadaire « Kalara » (spécialisé dans le traitement des questions judiciaires), qui coordonne la communication du Conseil juridique du Dr KEYE NDOGO.

Ceux qui souhaiteraient plutôt passer par Orange Money (au bénéfice de M. KEYE NDOGO, +237 6 99 91 20 58) devraient s’assurer qu’après la transaction, ils en saisissent, de la même manière que ci-dessus, le Dr KEYE NDOGO et Monsieur Christophe BOBIOKONO. Il s’agirait alors d’identifier leur créance, par son montant, ainsi que par le nom du contributeur et le numéro de remboursement de ladite créance. Les envois Orange Money n’identifient pas la personne faisant le dépôt, mais plutôt le numéro, à partir duquel la transaction est effectuée !


Bien sûr, si la contribution est un simple don plutôt qu’un prêt, il est vivement souhaité de le préciser, que celle-ci soit faite par virement bancaire ou par transaction téléphonique.

Les remboursements interviendront, une fois que le Ministère des Finances aura payé le Dr KEYE NDOGO, soit avant tout éventuel procès, soit sur instruction de la Justice.

Mais, avant même l’éventuelle intervention de la Justice, il faut relever que la plupart des goulots d’étranglement ont été identifiés, tant au niveau des Responsables qu’à celui des simples personnels, pour ce qui est du cas du Dr KEYE NDOGO.

Il appartient donc, désormais, au Ministre des Finances et à sa hiérarchie de frapper, de corriger et d’instruire, par l’exemple, pour des lendemains qui chantent.

C’est une mesure sanitaire absolument nécessaire.

Si cette opération de « préfinancement participatif » est couronnée de succès, alors elle aura aidé le Cameroun à se libérer de toutes ces pesanteurs qui pèsent sur les usagers au Ministère des Finances, y compris sur les anciens de « la Maison-Finances ». Car, jusque-là, peu d’usagers, s’il en existe du tout, en sortent indemnes, anciens de la maison ou non ! Et, cela, quelles que soient, par ailleurs, les dispositions qu’ils peuvent avoir prises, pour faire prospérer leur affaire ou pour vivre une retraite active, heureuse et épanouie (Voir : « Envol espéré durablement compromis » ET « Qui va payer le Prix? ») !

LA PROFONDEUR DU MAL EN FACE !

Voilà bien huit ans que le Dr KEYE NDOGO n’a pas perçu ses frais de relève et de congés (« l’argent pour déménager »), un peu plus de 49 millions F CFA. Et, en ce mois d’octobre 2025, l’Etat lui doit déjà aussi, un peu plus de 300 millions supplémentaires de manque à percevoir sur salaire au titre de l’étranger qui s’y sont greffés.

Bien plus, après avoir usé et abusé de subterfuges de toutes sortes et de dilatoire, pour ne pas le payer, malgré les instructions de le faire, les personnels du Ministère des Finances ont interrompu, depuis décembre 2024, la prépension qui lui était versée jusque-là (Voir aussi : « La triste saga du Dr KEYE NDOGO »).

Pour vivre comment, sans argent ? Et qui, plus est, à l’étranger ? Questions.

Le problème est né de que le Dr KEYE NDOGO avait vu son salaire au titre de l’étranger être suspendu, dès octobre 2018. Or, il n’avait pas encore perçu, préalable impératif, « ses frais déménagement » et ne bénéficiait plus que d’une prépension de 320 mille F CFA, là où son seul loyer, c’était un million CFA.

Et s’il s’y était longtemps refusé, le Dr KEYE NDOGO avait dû se résoudre à démanteler leurs épargnes, ses enfants et lui, engloutissant, au passage, mais, trop peu trop tard, 36 millions CFA, au titre des seuls arriérés de loyers, pour les 36 mois des trois premières années de son calvaire qui dure donc depuis huit ans !

Huit longues années ! Et, pourtant, à tous les niveaux, les Autorités camerounaises ont donné les instructions requises pour payer ! Sans effets ! (Voir : « Le MINFI, cet antre de petites Républiques autonomes » Et « Refus d’exécuter les instructions »).

Comment alors sortir de l’impasse ? Comment s’acquitter, auprès d’un bailleur qui n’en peut plus, de plus de 50 millions CFA d’arriérés de loyers, hors frais de justice, pour les cinq autres années qui se sont ajoutées ? Comment rassurer un bailleur qui redoute de voir son appartement vendu aux enchères par le Syndic qui gère l’immeuble qui abrite son bien ?

Oui, le Syndic traîne Monsieur SOFIANE HALIL devant la justice depuis 2022, pour les charges impayées du Dr KEYE NDOGO, qui en occupe donc le bien, sans payer. Il dit donc vouloir, extrême patience épuisée, le mettre dehors!

Manu militari ! Quitte à se mettre hors-la-loi ! Ou perdre son appartement ! Voilà le choix cornélien qui reste à Monsieur HALIL. Sauf, s’il est payé et s’il peut payer ses dettes, frais de justice compris, qu’il devra répercuter à son locataire !

Le plus grave, c’est que cette situation est connue au Ministère des Finances dont les personnels refusent, pourtant et obstinément, de payer le Dr KEYE NDOGO. Cette insolvabilité provoquée et organisée l’a mis à genoux, entraînant Monsieur HALIL, son bailleur, dans une galère qui ne devait pas être la sienne.

Pourtant, cet homme s’est, longtemps, refusé à faire expulser, légalement, son locataire, pour ne pas en pénaliser les enfants scolarisés. Parce qu’il suivait de près, avec son locataire, les démarches de ce dernier, jusqu’au plus haut niveau, il avait fini par accepter l’idée que le Cameroun finirait bien par payer son ancien diplomate et qu’il le serait à son tour. Puis, d’autres années sont passées et il s’est retrouvé piégé, avec une histoire d’impayés de loyers inimaginable en Occident.

Comment les « Powers That Be », qui règnent, sans partage, au Ministère des Finances, ont-ils pu ignorer cette situation incandescente d’endettement provoqué et de précarité subie, mais, surtout, contagieuse, du locataire au bailleur ?

Il faut donc, rapidement, faire quelque chose. Mais quoi ? Le Dr KEYE NDOGO a avancé une idée simple, mais puissante :
« Faute d’obtenir des paiements forcés immédiats de ces « Powers That Be » qui, [faut-il le redire], règnent, sans partage, au Ministère des Finances, au mépris des instructions de leurs Ministres et des instructions présidentielles (Voir : « Ultime recours aux Autorités »), il faut passer par un « préfinancement participatif, à constituer au titre de prêts », soupire le Dr KEYE NDOGO.

Avant de poursuivre : « Il s’agit, ainsi, de contourner les longues procédures judiciaires qui devraient intervenir, en temps opportun et en tant que de besoin ! »

EN ATTENDANT L’HEURE DE LA JUSTICE

Les procédures judiciaires sont longues. Et plus encore dans notre pays. Le Dr KEYE NDOGO le sait. Ses protagonistes en face, aussi. Il s’agit donc de les battre à ce jeu de la justice qui prend des années, réalité sur laquelle ces derniers tablent, sans doute, pour tordre la main aux usagers pressés et qui sont, d’ailleurs, obligés de l’être.

Pressé, compte tenu des urgences, le Dr KEYE NDOGO l’est. Il ne peut pas se permettre d’attendre davantage. Mais, il refuse de céder et appelle Camerounais et citoyens du monde à contribuer à un « préfinancement participatif ». Il faut battre le système. Ce sera le sauver, lui, ainsi que le Cameroun (Voir : « Le MINFI, cet antre des petites Républiques autonomes »).

Le Dr KEYE NDOGO n’est pas en quête d’aumônes. Du tout ! Il sollicite des prêts d’argent. Et il s’adresse ainsi, à titre personnel, à tout citoyen, selon ses moyens : de S.E. Paul BIYA, Président de la République certes, mais citoyen d’abord, jusqu’au dernier Camerounais, en passant par les Ministres, Directeurs Généraux, Parlementaires, « Bayam-sellams », etc…

Evidemment, tout citoyen du monde, touché par la triste saga et le calvaire du Dr KEYE NDOGO, est appelé à mettre la main à la pâte, en vue d’aider, au bout du compte, à la construction plus saine d’un pays qui en a plus que besoin.

Comment cela devrait-il se passer concrètement ? Le Dr KEYE NDOGO met sur la place publique ses comptes bancaires, BNP-PARIBAS en France et BICEC au Cameroun.

Chacun peut y faire un virement, en envoyer copies, par mail, pour enregistrement de la créance, (1) au Dr KEYE NDOGO lui-même (kndogo54@gmail.com) , ainsi (2) qu’à Monsieur Christophe BOBIOKONO (cbobio@gmail.com et cbobio@yahoo.fr) , le Directeur de Publication de l’hebdomadaire « Kalara » (spécialisé dans le traitement des questions judiciaires), qui coordonne la communication du Conseil juridique du Dr KEYE NDOGO.

Ceux qui souhaiteraient plutôt passer par Orange Money (au bénéfice de M. KEYE NDOGO, +237 6 99 91 20 58) devraient s’assurer qu’après la transaction, ils en saisissent, de la même manière que ci-dessus, le Dr KEYE NDOGO et Monsieur Christophe BOBIOKONO. Il s’agirait alors d’identifier leur créance, par son montant, ainsi que par le nom du contributeur et le numéro de remboursement de ladite créance. Les envois Orange Money n’identifient pas la personne faisant le dépôt, mais plutôt le numéro, à partir duquel la transaction est effectuée !
Bien sûr, si la contribution est un simple don plutôt qu’un prêt, il est vivement souhaité de le préciser, que celle-ci soit faite par virement bancaire ou par transaction téléphonique.

Les remboursements interviendront, une fois que le Ministère des Finances aura payé le Dr KEYE NDOGO, soit avant tout éventuel procès, soit sur instruction de la Justice.

Mais, avant même l’éventuelle intervention de la Justice, il faut relever que la plupart des goulots d’étranglement ont été identifiés, tant au niveau des Responsables qu’à celui des simples personnels, pour ce qui est du cas du Dr KEYE NDOGO.

Il appartient donc, désormais, au Ministre des Finances et à sa hiérarchie de frapper, de corriger et d’instruire, par l’exemple, pour des lendemains qui chantent.

C’est une mesure sanitaire absolument nécessaire.

Si cette opération de « préfinancement participatif » est couronnée de succès, alors elle aura aidé le Cameroun à se libérer de toutes ces pesanteurs qui pèsent sur les usagers au Ministère des Finances, y compris sur les anciens de « la Maison-Finances ». Car, jusque-là, peu d’usagers, s’il en existe du tout, en sortent indemnes, anciens de la maison ou non ! Et, cela, quelles que soient, par ailleurs, les dispositions qu’ils peuvent avoir prises, pour faire prospérer leur affaire ou pour vivre une retraite active, heureuse et épanouie (Voir : « Envol espéré durablement compromis » ET « Qui va payer le Prix ? ») !

Voyez-y cette inhumanité maladive et chronique que le Dr KEYE NDOGO a diagnostiquée chez ces supposés « parents camerounais » de ses enfants, qu’ils ont pourtant soumis à la précarité, contrairement à la posture d’un Monsieur HALIL, cet étranger qui a démontré, à leur égard, son sens de l’autre !

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