Cette reconnaissance est un témoignage vivant – s’il en était encore besoin – de la contribution positive que peut apporter la société civile dans l’avancement de l’agenda diplomatique bilatéral et/ou multilatéral du Cameroun.

Nous la saluons donc avec satisfaction mais aussi responsabilité ; s’agissant d’une étape dans la construction de cette mémoire partagée au cœur de la refondation des relations Cameroun-France mais surtout en rappelant qu’elle doit être le précurseur d’un travail plus global à entreprendre au sujet de l’histoire du Cameroun, par les Camerounais et pour les Camerounais.