DOSSIERPANORAMA

Olanguina : Le maire aux avant-postes de la croisade contre le Covid-19

Alphonse Didier Bikoula Bekono, l’édile de la localité, inaugure son mandat par le combat contre la pandémie.

Instant de remise de kits

Des centaines de cache-nez, des dizaines de seaux à robinets, d’innombrables cartons de savons et solutions hydroalcooliques. Pour un package de lutte contre le coronavirus dans la municipalité d’Olanguina (à une soixantaine de kilomètres à l’Est de Yaoundé), celui posé par Alphonse Didier Bikoula Bekono est à la hauteur de son ambition: «barrer la voie à cette maladie avant qu’il ne soit trop tard». Ce 16 avril 2020, dans la salle des actes de la commune, le maire, féru de statistiques, se sert des données compilées par le ministère de la Santé publique (Minsanté) pour dissuader les incrédules. «Voyez-vous, dit-il aux représentants des populations, cette affaire est d’autant plus sérieuse qu’elle mérite que tout le monde fasse preuve de bon sens en respectant scrupuleusement les mesures édictées par le gouvernement».

Prévention
À Olanguina où tout est encore contrôlable (pas de cas de covid-19 signalé à cette date), le principe de la prévention n’est pas de trop. Selon le chef de l’exécutif municipal, les kits de protection apportés ce jour dépassent largement le simple instinct politique. «C’est une question de vie pour tous par l’action de tous», appuie-t-il. Par cette approche qui fait de la participation communautaire l’un des piliers de la lutte contre la pandémie, Alphonse Didier Bikoula Bekono tient son carnet de bord: «aller dans tous les 17 villages du groupement Edouma pour sensibiliser afin d’éviter une nouvelle forme de danger sur la vie des habitants». Et pour un avant-goût, il encourage ses congénères à s’informer auprès du personnel de santé du coin. Son propos aborde des questions telles que l’utilisation efficiente des masques et des gels hydroalcooliques, le lavage des mains et les symptômes du coronavirus. Dans la foulée, il annonce qu’en dehors du matériel gracieusement remis ce jour, des masques seront mis en vente «au prix d’amis» dans les centres de santé éparpillés dans le giron la municipalité.

Attention
Bien que ce soit une complexe maladie et que, nourris par des récits de panique, des inquiétudes collectives ne cessent de croître, le maire d’Olanguina voudrait y voir un «accident» qui ne durera pas au Cameroun, «si et seulement si les mesures gouvernementales sont scrupuleusement respectées». C’est d’ailleurs sur la même veine qu’évolue Arcène Théophile Aupong, le sous-préfet d’Assamba. «Le respect de toutes ces mesures, exhorte-t-il, c’est la seule voie pour dire non à cette maladie». Le chef de terre ne manque pas d’attirer l’attention des populations sur la bonne utilisation des kits sanitaires reçus et la nécessité d’alerter les autorités pour tout cas suspect. D’ailleurs séance tenante, il annonce des contrôles stricts à l’entrée de la commune d’Olanguina. «Sous l’autorité du commandant de brigade, un poste fixe sera installé à Ntop à cet effet», avertit-il.

Tout en le remerciant, Sa Majesté Mvondo, porte-parole des chefs traditionnels des villages, invoque l’onction des ancêtres sur le maire, afin que ce dernier trouve toujours les moyens et la force pour mener les actions en faveur des populations d’Oalnguina. «Nous ne nous y attendions pas, reconnait le dignitaire traditionnel. Et parce que c’est une surprise agréable, nous bénissons le maire et son équipe ce premier geste».

 

E-learning

L’IUEs-INSAM au diapason

Impacté par le Coronavirus, l’Institut Universitaire a revu ses modes et méthodes de fonctionnement en renforçant la digitalisation.

Dans un contexte de pandémie du Covid-19, le groupe Institut Universitaire et Stratégique de l’Estuaire-Institut Supérieur des Affaires et de Management (IUEs-INSAM), s’est résolument arrimé à l’enseignement à distance. Depuis quelques semaines, les cours et évaluations se font en ligne. Depuis une quinzaine d’années, ce groupe universitaire est l’un des pionniers dans l’enseignement à distance au Cameroun. «Nous y sommes grâce à l’université virtuelle africaine (UVA).

Jacques Bonjawo, l’un des tout premiers cadres camerounais de Microsoft nous a contacté et nous avons ouvert une antenne de l’UVA dans notre école avec beaucoup d’étudiants venant de partout» se souvient Dr Ignace Foyet. Chemin faisant, explique le promoteur de l’IUEs-INSAM, «l’école a grandi et nous avons signé les conventions avec les firmes américaines Microsoft et Sisco qui délivrent des certifications ici et depuis l’année dernière, nous faisons dans la télémédecine et le Homecare (soin à domicile) soit à domicile avec les universités indiennes».

Une innovation dont se réjouit le promoteur de cet institut universitaire, tant «ces certifications ont permis aux étudiants de compléter leur cursus universitaire pour être compétitifs sur le marché international», se satisfait Dr Ignace Foyet.

C’est qu’à la base, explique Armand Kodjo Azafack le «E-learning est une plateforme conçue pour échanger avec les étudiants qui travaillent dans les entreprises et qui n’ont pas la possibilité d’assister aux cours en présentiel». Pour le directeur des affaires académiques et de la coopération du groupe universitaire, l’enseignement en ligne se passe plutôt pas mal au sein du groupe.

A en croire cet ingénieur concepteur des systèmes d’information, chaque école du groupe universitaire est inscrit sur la plateforme dont l’administrateur a créé des spécialités, des filières et des cycles en fonction des inscriptions des étudiants. Lorsqu’un étudiant sollicite suivre ses cours par E-learning, «nous créons sa classe, son compte et ses paramètres de travail qui lui permettront de se connecter à la plateforme», explique Armand Kodjo Azafack.

Un mode d’acquisition sollicité en cette période de crise du Covid-19 où la mode est au confinement et à la priorisation de la digitalisation. Mais d’autres préfèrent des solutions beaucoup plus simplifiées et pratiques. «Actuellement nous expérimentons un nouveau concept qui consiste d’abord à donner aux étudiants le fichier numérique du cours par whatsapp», explique Norbert Nadjie.

L’enseignant de psychologie sociologie recherche, indique que les groupes whatsapp sont créés par salle de classe et chaque enseignant peut expliquer son cours et échanger avec les étudiants à travers des voices ou des messages écrits. «J’ai eu à faire quelques cours comme dans l’accoutumée. C’est vrai que le ton ou encore le concept est nouveau au point où les étudiants ont du mal à se familiariser.

Sinon le fait d’être resté pour longtemps à la maison a poussé beaucoup à s’y intéresser de telle sorte qu’actuellement une fois qu’ils ont les supports de cours, les programmes sont prévus comme s’ils étaient en salle de classe et chaque enseignant a son espace horaire où il intervient dans le groupe», se réjouit l’enseignant.

Norbert Nadjie explique qu’à la fin de son intervention, il y a la phase interaction qui consiste pour les étudiants qui ont des questions à les poser soit par écrit ou audio. «Beaucoup ne sont pas assimilables de manière audio, décrit-il. J’explique et je renvoie par voice ou par écrit certaines questions qui n’ont pas été bien précises dans l’audio ». Il poursuit : «au regard des jours de cours que j’ai eu, des échanges avec les étudiants, je pense que le message passe plutôt bien et les étudiants se familiarisent à cela.

Désormais ils ont le support même s’ils ne sont pas connectés au moment où le cours est dispensé, ils peuvent venir le télécharger, l’écouter et poser des questions à leurs camarades ou à l’enseignant ou même écouter les réponses aux questions que l’enseignant a eu à poser aux étudiants». L’évaluation des étudiants quant à elle n’est pas complexe, relativise Norbert Nadjie, qui pense que «si le cours a été compris, l’évaluation consistera tout simplement à donner quelques thèmes ou quelques exercices aux étudiants qui sont censés les retourner aux enseignants à travers un fichier word dans lequel ils auront répondu et envoyé dans les boites électroniques des enseignants». C’est dire que le Covid-19 ne chamboule pas totalement le fonctionnement dans cet institut universitaire qui était déjà paré à toutes les éventualités.

Alain Biyong

 

La première victoire pour le sport sera la maîtrise du Covid-19

Ne nous y trompons pas, le devoir de résultats et l’appétit de performances encore meilleures confinent les professionnels de ces différentes disciplines dans des préparations adaptées et individualisées en attendant le retour de ces compétitions, en bon état de santé physique et moral sous la supervision de leurs encadreurs en télé travail et en réseau.

Le manager des projets sportifs et directeur associé du Cabinet BETREU & Co parle des enjeux de l’après Covid-19 pour le sport.

Willy Alaga Nbenga

Le Covid 19 a chamboulé le monde du sport. De grands événements tels que les Jeux olympiques sont renvoyés à l’année prochaine. Les championnats dans les différentes disciplines sont à l’arrêt. Les pratiquants dans les différentes disciplines sportives ne peuvent pas s’entrainer convenablement. Qu’est-ce que ce tableau inspire comme commentaire ou analyse ?
L’Histoire nous renseigne assez sur la fréquence, avec une régularité quasi parfaite à quelques exceptions près, la survenance des désastres sanitaires planétaires. Plus précisément, cette maladie élevée à juste titre en pandémie au même rang que ses illustres aînées, nous questionne au regard de la gravité pourtant documentée qui aurait pu, avec la démocratisation des moyens actuels des TIC, contribuer à sa prévision afin de d’éviter les très fâcheuses conséquences qui n’ épargnent en effet aucun domaine sans exception, de l’économie à la géostratégie en passant naturellement par les sports, plus fortement impactés du fait de leur plus grande popularité et de leur rôle social.

Le sport de haut niveau s’accommode mal du tableau ci-dessus. Doit-on craindre pour les performances des sportifs?
Le sport de haut niveau ne s’accommode ni de ce tableau, ni d’autres distractions périphériques. Les clubs sont des centres de profit avec des objectifs stratégiques et financiers précis. Ayant déjà énormément perdu de l’argent, alors que l’on aurait pu imaginer, dans ce contexte d’arrêt total d’activités publiques et de confinement, que les joueurs, du fait de l’absence de rigueur dans la gestion de leurs agendas quotidiens respectifs organisés par les staffs techniques de leurs employeurs, les clubs, se laissent aller à la démobilisation et vaquent à d’autres activités.

Ne nous y trompons pas, le devoir de résultats et l’appétit de performances encore meilleures confinent les professionnels de ces différentes disciplines dans des préparations adaptées et individualisées en attendant le retour de ces compétitions, en bon état de santé physique et moral sous la supervision de leurs encadreurs en télé travail et en réseau.

Les événements sportifs charrient de gros enjeux financiers. On peut déjà imaginer de grosses pertes et de grands manque-à-gagner sur l’ensemble des chaines organisationnelles. Pourrait-on un jour se relever de ce désastre financier ?
En effet les événements sportifs populaires charrient de gros enjeux financiers. Les revenus des clubs ou organisations sportives proviennent essentiellement de la billetterie, des droits TV, des droits d’image, des spectacles qu’ils organisent et /ou de ceux auxquels ils prennent part, des contrats publicitaires, des objets dérivés ainsi que des transactions issues des transferts des joueurs en ce qui concerne les sports collectifs.
Dès lors que les compétitions sont arrêtées et que le spectacle n’est ni produit, ni vendu, ni diffusé, toutes ces sources de recettes s’évanouissent cependant que diverses charges, dont la masse salariale des joueurs constitue l’essentiel, continuent à courir.

On peut donc craindre d’assister au dépôt de bilan de certaines organisations sportives moins bien préparées si la situation perdure. Un pessimiste croirait à l’humilité tirée de cette pandémie pour mette un holà à la poursuite effrénée de bénéfices toujours faramineux. Mais, il est plus raisonnable de faire confiance à l’ingéniosité de l’Homme et à sa capacité à se sublimer et à se relever d’un drame pour célébrer sa victoire. Les performances sont faites pour être battues.

En observateur averti, avez-vous des propositions concrètes pour sortir la tête de l’eau ?
Bien malin ou prétentieux qui seul, donnera les clés de relance de l’ensemble des disciplines sportives et leurs différents impacts sur le reste de l’économie. Mais la première victoire sera la maîtrise du Covid 19. A cet effet, j’observe, comme vous, les diverses stratégies de riposte mises en place par chaque pays dont le Cameroun. A ce sujet, il convient de saluer l’extraordinaire conduite par M. le Ministre de la Santé, sous la ferme et attentive supervision de M. le Premier Ministre, Chef de Gouvernement de notre pays, de la riposte camerounaise face au Covid 19

Notre pays n’a pas paniqué et a offert avec maturité le know-how made in Cameroun à l’opinion nationale et internationale malgré l’inconscience des populations toutes catégories confondues.

C’est dans ce contexte qu’alors que toutes les compétitions ou presque ont été repoussées à des dates non encore dévoilées, la France vient d‘obtenir la confirmation de l’organisation d’Août à septembre 2020 de son tour Cycliste, qui n’est rien d’autre que le 3e événement le plus médiatisé au monde.

Le Cameroun avait quant à lui déjà obtenu que ne soit pas annulées, mais simplement reprogrammées les compétitions qu’il a si longuement préparées et dont l’une devrait battre son plein actuellement.

Le Covid-19 peut-il provoquer ou sera-t-il à l’origine d’un nouvel ordre mondial dans le sport?
Vu la mobilisation mondiale générale constatée qui a drainé, en les dévoilant, certaines stratégies obscures, certains constats historiques que qualifieront certains de conspirationnistes, on aura découvert la faiblesse de géants aux pieds d’argile face à ce mal planétaire.

Au plan national, la maturité politique de ceux qui ont en charge la responsabilité d’apporter des solutions adéquates aux camerounais face aux défis qui les accablent, d’autres, nourris par d’incompréhensibles calculs, dans une stratégie individualiste sans fondement patriotique, ont raté l’unique occasion d’emprunter avec leurs sœurs et frères de sang, le train de la solidarité nationale.

L’on a déjà assisté aux libérations de prisonniers, aux appels de cesser le feu ici et ailleurs, aux réaménagements de dettes de certains états aidés par leurs «bourreaux de hier», assisté à la mise à nu de la personnalité de certains responsables politiques à l’instar du Pdt américain qui mal ou peu informé menace de frapper le monde entier d’une amende en se retirant de l’OMS, on a assisté à l’aide apportée par des pays dits « pauvres » aux pays riches à travers l’envoi de médecins cubains et tunisiens en Italie, on a découvert l’aliénation des populations par certaines religions, aux vols d’organes par des institutions médicales des dépouilles de leurs malades, aux assassinats de personnes détestées, à la fabrication de faux médicaments par des citoyens qui par ces actes odieux exposent leurs propres frères en violant les lois de leur pays, aux indélicatesses de certains médecins envers leurs malades, mais aussi à la condamnation d’autres qui ne voulaient accepter de laisser mourir les leurs, à la prise de conscience que les virus franchissent des frontière sans visa, et que les sans domicile fixe du monde entier avaient eux aussi droit à la santé… La liste des enseignements du Covid 19 est longue, extrêmement longue et édifiante

Le CHAN et la CAN dans ce chamboulement inattendu et l’incertitude des lendemains s’organiseront dans un contexte de crise économique consécutive à la crise sanitaire du Coronavirus. Ne va-t-on pas vers des événements au rabais ? Quelles sont vos prévisions par rapport à la qualité de ces deux grands rendez-vous sportifs majeurs pour le continent et le Cameroun?

Vous me permettrez de ne pas partager cet avis pessimiste. Il n’est pas besoin de convaincre vos lecteurs, qui savent parfaitement que : «Après la pluie, vient le beau temps ?»

Que l’on soit clair, les exigences de la CAF du point des infrastructures nécessaires à l’organisation du CHAN querellé au Cameroun sont les mêmes que celles requises pour la CAN féminine qu’a accueilli notre pays en 2016 ; Seize nations africaines réparties en quatre poules disposant chacune d’un stade de Compétition et d’au moins un stade d’entrainement munis tous d’une pelouse naturelle.

Signalons à nos compatriotes, pour leur fierté que nos stades annexes sont de bien meilleure qualité que certains stades de compétition de la CAN féminine qu’ont accueilli d’autres pays africains avant le Cameroun.
En effet, la quasi-totalité de nos stades annexes sont dotés d’au moins une tribune de 1000 ou 2000 places assises, de vestiaires équipés et de pelouses naturelles. Le Cameroun pouvait donc sans moindre ajout organiser le CHAN 2020 sans infrastructures sportives supplémentaires.

Mais, dans son souci de toujours mieux faire pour relever ses défis, le Cameroun, sous l’impulsion de notre chef d’État toujours à la recherche de l’excellence, a opté d’offrir à sa jeunesse, au mouvement sportif tout entier et la plupart de nos régions enfin des infrastructures sportives futuristes que nous envient, à en croire le 1er Vice-Président de la CAF.

Quant à la CAN proprement dite, vingt-quatre nations africaines, réparties en six poules dont des stades de compétition pouvant recevoir entre quinze et cinquante mille places assises.

Notre pays, avec bravoure a accepté en cours de construction de ses infrastructures, la modification des règles de jeu d’une CAF ambitieuse. CeTte modification nous exigeait une augmentation de 30% de nos capacités d’accueil et d’organisation par rapport à l’édition (2018) sollicitée et obtenue ; C’était en effet sans compter avec un certain manque de confiance des camerounais en eux-mêmes pour relever ce défi national.
Le Cameroun a courageusement produit des efforts prodigieux pour atteindre cet objectif et engagé d’énormes sacrifices financiers pour relever ce défi dans le temps qui lui était imparti, jusqu’à l’engagement personnel du Chef de l’Etat.

Tout laisse donc à penser que le Cameroun organisera ces compétitions dans un climat de réconciliation entre camerounais.

Mon père spirituel, W. BAHEGANA, paix à son âme, m’apprenait que lorsque l’on a le sentiment d’avoir tout essayé sans le succès escompté, laisser Dieu faire l’impossible. Il l’illustrait de la pensée suivante : «…lorsque tu as trop cherché sans trouver, tu finiras par trouver sans chercher. » La chance ne souriant qu’à ceux qui la méritent, ne voyez-vous pas qu’avec l’annulation par la Fifa la semaine dernière du Championnat du Monde des Club prévu en 2021 en Chine, qui laissait planer un danger sur l’organisation de la TOTAL CAN Cameroun 2021, notre pays, leader depuis 30 ans de la scène africaine de football organisera après le Covid 19 tous ces événements dans cet agenda qui lui est une fois de plus favorable après un glissement initié par la CAF.

De plus, il ne vous pas échappé à vous non plus que mercredi 15 avril dernier, en visite au Complexe Sportif Paul BIYA d’OLEMBE, le Ministre Narcissse MOUELLE KOMBI a témoigné qu’aussi bien sur les stades annexes que sur l’aire de jeu du Stade Principal, la pelouse promise poussait avant d’ajouter que celle-ci serait opérationnelle dans trois mois.

Pour les croyants, les deux événements projetés auront bel et bien lieu après avoir bénéficié des conditions les meilleures d’achèvement de leur préparation, par la grâce divine accordée à tout le peuple camerounais qui les aura tant attendus et si chèrement financés pour la postérité.

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