Selon l’indice visa openess de la Banque africaine de développement publié l’année dernière, 31 pays du continent sont moins réticents à l’idée de soustraire les voyageurs africains aux formalités d’accès à leur territoire.
La récente décision de l’Ethiopie d’exempter les africains des formalités de visas pour leur séjour sur son territoire a parcouru l’Afrique comme une onde sans précédent. D’autant plus que la déclaration de Dangoté suscitait au moment de son édiction beaucoup d’émoi. Le richissime nigérian disait avoir besoin de 38 visas pour se déplacer en Afrique.
De manière schématique, 31 pays africains permettent aux Africains d’obtenir le visa à l’arrivée. Mais de manière précise, seuls 7 pays offrent de manière intégrale (à tous les pays africains) un visa à l’arrivée. Il s’agit de l’Ethiopie, des Comores, de Madagascar, de la Somalie, de Djibouti, du Rwanda et du Nigéria dont l’application est en cours de promulgation. Le Kenya, l’ile Maurice, l’Ouganda, le Togo, la Guinée Bissau, le Cap vert, le Ghana, le Mozambique, la Tanzanie et la Mauritanie ouvrent la disposition à 45 ou 30 pays africains (voir l’index ci-contre).
La République des Seychelles est le territoire du continent le plus en avance sur le protocole de l’Union africaine relatif à la libre circulation et au droit d’établissement. L’archipel exempte de visa l’ensemble des ressortissants africains en séjour sur l’une de ses 115 îles. Le Sénégal est le second pays du continent le plus ouvert aux africains avec 42 nationalités soustraites de l’obligation de visa. Certains pays africains, dans l’optique de booster la croissance économique et de tourisme, ont orienté l’exemption de visa différemment. Au Bénin, il est possible à tout africain de séjourner pendant 90 jours sans visa. Les lois d’incitation à la croissance, au tourisme et à la science habilitent le gouvernement de l’Afrique du Sud à offrir 10 ans de visa aux étudiants et hommes d’affaires sur le territoire sud-africain.
A contrario, la Guinée Equatoriale et le Sahara occidental sont les plus réticents à la soustraction du visa. En dehors des pays de la Cemac, l’ensemble des pays africains ont l’obligation du visa pour pénétrer sur le sol équato-guinéen.
Zacharie Roger Mbarga
Paul Senile Oyono
Le secteur forestier dans la sous-région représente un enjeu économique et environnemental très important
L’étudiant-chercheur en intégration régionale à l’Institut des relations interna-tionales du Cameroun(Iric) fait une analyse critique de l’axe prioritaire n° 2 du plan de convergence 2015-2025.
Il est clairement établi que les massifs forestiers jouent un rôle primordial dans la sauvegarde de l’environnement mondial. A cet effet, les forêts d’Afrique centrale qui constituent le second massif forestier tropical de la planète avec une superficie estimée à 227 millions d’hectares (FAO, 2005) ont une importance stratégique. Le secteur forestier dans la sous-région Afrique centrale représente un enjeu économique (Cameroun : 6% du PIB; RCA : 6,3 du PIB ; Congo: 5,6% du PIB ; Gabon: 4,3% du PIB)1 et environnemental très important, autant pour les ressources naturelles que pour les services écosystémiques qu’il fournit. Cet axe prioritaire d’intervention s’appuie essentiellement sur la gestion et la valorisation durable des ressources forestières dans le Bassin du Congo.
Cet article répond à trois principales préoccupations rencontrées par les Etats membres de la Commission des forêts d’Afrique centrale (Comifac) dans la gestion et l’exploitation durable des ressources forestières et les solutions adéquates à ces problèmes. Une observation attentive révèle qu’une kyrielle d’initiatives existe dans le cadre de la réalisation de cet axe stratégique. Nonobstant, des insuffisances énormes sont encore enregistrées et par conséquent, il convient pour les Etats membres de la Comifac, principaux acteurs de cette vision, d’entreprendre des initiatives communes et intégratrices, à travers le dialogue et la coopération technique qui débouchera nécessairement à un effet d’entrainement, que les spécialistes de l’intégration régionale ont communément appelé Spill-over effect.
D’un point de vue géopolitique, le constat de la rareté des ressources naturelles, s’est largement posé à partir de la fin des années 1960, qui fait entrer l’environnement dans la sphère politique en 1972 avec la première conférence de l’Onu sur l’environnement, à Stockholm. La notion même de développement durable, telle qu’elle est définie en 1987 dans le rapport de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l’ONU (rapport Brundtland), est intrinsèquement liée à ce constat de rareté et de finitude des ressources : il s’agit bien de ne pas compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs besoins. Dès lors que l’environnement devient un ensemble limité de ressources, il devient un objet politique.
A-Les défis de la Comifac dans la réalisation de l’axe prioritaire n° 2 du plan de convergence 2015-2025
Les forêts de la sous-région sont sujettes des menaces multiples (le défi de la transparence dans la gouvernance forestière, la non implication des populations locales etc.) susceptibles de compromettre leur durabilité.
-Le défi de la transparence
La transparence reste un défi pour le secteur forestier en Afrique centrale. En dehors du Gabon qui est en négociation, le Cameroun, le Congo et la RCA sont signataires de l’APV Flegt. L’Accord de partenariat volontaire Flegt, dont le but est d’améliorer la gouvernance forestière du pays en négociation au Gabon et en cours au Cameroun, en RCA et au Congo a été source d’espoir. L’une des obligations de l’APV Flegt est de rendre publique les informations sur le secteur forestier.
Cependant, depuis l’entrée en vigueur de cet accord dans les pays concernés, les avancées en matière de transparence dans le secteur forestier peinent à se dessiner. Les Etats ont démontré leur limite dans la gestion et valorisation durable forêts, ne disposant pas de moyens adéquats. Les capacités humaines, les équipements et les moyens financiers dont disposent les administrations forestières restent très insuffisants.
– L’implication limitée des populations locales
Sans en être toujours à l’origine, la Banque mondiale2 a appuyé les mesures visant à constituer des «forêts communautaires» là où auparavant, seul le monopole de gestion de l’État sur les espaces boisés était, formellement, la règle. Au Cameroun, dès 1994, la loi consacre la possibilité pour des «communautés villageoises» de bénéficier de forêts (d’une superficie maximale de 5 000 ha) sur le domaine forestier non permanent (domaine national). En mars 2007, 420 713 ha de forêts communautaires étaient constituées au Cameroun, moins d’un quart d’entre eux avaient reçu l’approbation de leur plan de gestion permettant leur exploitation légale. La population autochtone dans la sous-région vit dans les zones forestières où l’agriculture et la collecte des produits forestiers non ligneux (PFNL)3 constituent leurs principales activités.
Par ailleurs, ces populations possèdent un savoir-faire traditionnel sur la forêt et la faune et en matière d’exploitation des ressources forestières. De ce point de vue, ces populations constituent un groupe d’acteurs incontournables mais dont l’implication effective dans la gestion et valorisation durable des forêts constitue, à n’en point douter, un véritable défi à relever.
– Expansion des aires protégées et annexion des terres forestières
Bien que le concept de protection de la nature dans son état vierge soit aujourd’hui remis en cause, les aires protégées restent le moyen de conservation de la biodiversité le plus communément utilisé dans presque tous les pays du monde (Chape et al. 2005; Coad et al. 2009). Face à la crise actuelle de la biodiversité, le nombre d’aires protégées a augmenté de manière exponentielle ces dernières années (Chape et al. 2005). En Afrique centrale, 50,6 pour cent de la totalité des aires protégées rentrent dans les catégories I-IV de la classification de l’UICN (de Wasseige et al. 2012). En théorie donc, la majorité des aires protégées est règlementée et restreinte d’accès, privant ainsi des millions d’habitants des forêts des droits d’usufruit sur les terres forestières dont ils dépendent souvent pour leur subsistance. Si la récolte à faible impact des PFNL est perçue comme la meilleure manière de gérer les terres sous les tropiques (Prance, 1992), pourquoi enregistre-t-on alors une telle augmentation du nombre d’aires protégées et des annexions de terres disponibles pour des activités extractives?
B- Solutions proposées face à ces nombreuses difficultés
Dans le cadre du projet Making the forestsector transparent, mis en œuvre dans huit pays (y compris au Cameroun par le CED), sous la supervision de Global Witness, sur financement de DIFD, une charte adaptée au contexte du Cameroun a permis la production de rapports sur la transparence dans le secteur forestier jusqu’en 2015. Cette charte ne prenait pas en compte les informations sur les investissements non forestiers en milieu forestier.
Pour la présente étude, il est question de développer une grille sous régionale (Cameroun, Gabon, RCA et Congo) qui en plus des indicateurs sur la transparence dans le secteur forestier, prendra en compte des indicateurs sur la transparence dans les grands investissements non forestiers en milieu forestier. La grille reflétera le contexte national (cadre légal et institutionnel) et comportera des indicateurs qui permettent la comparaison d’un pays à l’autre.
Malgré leur forte expansion, les aires protégées restent relativement incapables d’assurer la conservation de l’ensemble de la biodiversité et la majeure partie de la biodiversité mondiale se trouve aujourd’hui en dehors des aires protégées, souvent dans des paysages complexes, multifonctionnels, occupés par les êtres humains (Putz et al. 2001; Sayer et Maginnis, 2005). Ce sont ces paysages qui sont peut-être les plus précieux pour les PFNL, et ceux où ils fournissent leur plus grande contribution à la subsistance des populations rurales. D’où la nécessité d’une gestion à mi-chemin entre la forêt naturelle et les systèmes forestiers intensifs, à terme moins diversifiés et favorisant ainsi la conversion de forêts naturelles riches en biodiversité.
Le processus de domination dont les tracés de frontières dessinent les lignes de fracture entre le Nord et le Sud est une construction mûrement pensée dans l’antichambre des grands palais occidentaux. Comme une idée couvée, il est conçu, conceptualisé de façon savante et policé pour lui donner une légitimité, avant d’être mis en œuvre pour un seul but : dominer. Le concept d’indépendance n’a pas dérogé à la règle.
Indépendance ! Lorsque j’entends ce mot, je me pose la question de savoir : qui dépend de qui ?
À l’aube du XVème, des explorateurs européens débarquent alors en vague déferlante en Afrique pour assurer auprès de ces bons petits sauvages «une mission salvatrice de civilisation» et sortir de l’obscurantisme ces populations qui pataugent dans une ignorance aussi bien essentialiste qu’existentialiste. L’on voudrait par cette pirouette behaviouriste justifier la vision manichéenne du drame de l’humanité le plus cruel : la colonisation. À cette époque, l’Afrique est, selon certaines conceptions un continent en friche, sous-développé, en marge de la civilisation et hors de l’histoire, pour ne pas citer Nicolas Sarkozy.
Dans les années 1960, un grand nombre d’États africains accèdent à ce que l’on appelle pompeusement « indépendance ». C’est la fin d’un régime paternaliste, où le colonisateur « lègue » à ses colonies la « libre » administration de leurs territoires. Mais force est de constater le système colonial a laissé place à une structure néocoloniale destinée à maintenir dans l’asservissement les peuples jadis sous administration étrangère. L’ingéniosité développée et l’acharnement déployé pour maintenir en place ce système de stabilité hégémonique laisse à désirer quant à la pertinence du terme choisi pour désigner la pseudo-décolonisation de l’Afrique.
Pour mieux comprendre de quoi il s’agit, il ne sera pas superflu de faire un détour sémantique du concept indépendance. Nous en définirons l’antithèse pour mieux en cerner le sens profond.
Commençons par définir le contraire dont il dérive, à savoir la dépendance. Le Larousse définit la dépendance comme étant le rapport de liaison étroite entre quelque chose et ce qui le conditionne, le régit. Assujettissement à une drogue, à une substance toxicomanogène, se manifestant lors de la suppression de cette dernière par un ensemble de troubles physiques et/ou psychiques. On lui joint le synonyme d’addiction ou d’assuétude, pour ne citer que ceux-là.
La lecture des rapports Nord-Sud à la lumière de ces différentes définitions laisse apparaître des symptômes de dépendance, voire d’addiction de l’Occident envers ses anciennes colonies. À l’observation, on se rend compte que les relations nostalgiques des puissants avec leurs espaces de régulation révèlent toutes la signification de la dialectique du maître et de l’esclave. Depuis le cadre multilatéral, jusqu’aux relations bilatérales, tout est fait pour maintenir les équilibres mondiaux.
Une légion d’exemples aussi contraignants que lugubres est très éloquente pour illustrer cet état des faits. La Guinée de Sekou Touré paie encore de son audace d’avoir osé refuser d’appartenir à l.
Sylvanus Olympio a été sacrifié sur l’autel de la conservation du précarré français en Afrique. Et que dire de Patrice Émery Lumumba, martyr congolais, qui paie de sa vie ses velléités à prétendre à une autonomie complète de son peuple ? Que dire de Thomas Sankara qui a eu le toupet de croire que le « Pays des Hommes Intègres » pouvait prétendre au droit des peuples à disposer de ses richesses, pourtant reconnu par la Communauté internationale ? Et que dire enfin de Mouammar Kadhafi, dont le sang tâche chaque baril de pétrole extrait du sous-sol libyen ?
On n’oublie pas Laurent Gbagbo, et on se souviendra longtemps de tous ces amoureux de l’Afrique qui ont commis pour seul péché de croire en l’INDÉPENDANCE de leurs nations. Comme un toxicomane en manque capable de trucider pour un gramme de son élixir hallucinogène, l’Occident est prêt à aller jusqu’au sang pour ne pas perdre l’Afrique dont il est devenu vitalement DÉPENDANT. Le principe d’égalité souveraine des États bat en brèche devant la realpolitik à la base de la géopolitique sanglante du monde.
On se souviendra longtemps de tous ces morts à Beni, ville tristement célèbre de l’Est de la RDC, dont le sang est évalué au prix de la «Stratégie du chaos et du mensonge» dénoncée par Patrick Mbeko comme le « Poker menteur en Afrique des Grands Lacs». Ne soyons pas naïfs pour CROIRE que le génocide rwandais n’avait pour substrat que la haine de deux tribus qui se détestent cordialement. Ayons la lucidité de lire entre les lignes et de chercher à SAVOIR les raisons non avouées de la crise dans le Nord-Ouest et Sud-Oest camerounais. Tous ces peuples sacrifiés au nom de la géopolitique mondiale du maître du monde occidental, trop DÉPENDANT de son esclave africain pour le laisser vivre librement son destin.
Les pays les plus rétifs sont jetés en pâture aux goulots d’étranglement du linkage. En fait, tout est lié dans le Nouvel ordre mondial. En termes simples : vous refusez un avantage au puissant colon, il actionne son levier de puissance par des sanctions onusiennes. Fais-lui valoir ton droit à disposer de tes matières premières au nom de la souveraineté, il met en branle son réseaux d’amis publics (FMI, Banque Mondiale…) et privés pour te refuser les financements à un projet structurant et ainsi asphyxier ta population qui descendra bientôt dans la rue réclamer ta démission.
Rien n’est laissé au hasard. Du point de vue idéologique, la diffusion des valeurs dites universelles sont des vecteurs de la suprématie. Sous le prétexte fallacieux de la démocratie et des Droits de l’Homme, une campagne guerrière abjecte n’a-t-elle pas été menée contre l’Irak de Saddam Hussein, pendant que rien ne motivait les forces alliées plus que l’or noir du Golfe persique ? À défaut des bruits de bottes dans les rues de ta capitale, le silence des geôles de la Cour pénale internationale t’aidera à méditer sur ton sort.
Dès lors, le truisme est perceptible. Le choix du terme indépendance pour désigner ce qui est en fait un simulacre de mise en œuvre du processus de libération du continent africain masque à peine l’intention d’asservissement inaugurée à la date macabre du 26 février 1885 à Berlin. Il s’agit en fait de la conceptualisation d’une domination subliminale mûrement pensée et construite depuis Gobineau jusqu’à Stephen Smith, en passant par Hérodote et par Albert Memmi qui ont consacré l’œuvre de leur vie à dégoupiller la thèse de l’inégalité des humains sur la base de leurs races, l’Homme noir étant au bout de la chaîne alimentaire.
Au terme INDÉPENDANCE, je préfère DÉCOLONISATION qui dénote d’un processus plus long que l’Afrique ne pourrait atteindre qu’après avoir pris conscience de l’état de DÉPENDANCE de ses prévaricateurs. Car pour tenir son rang, l’Occident dépend des matières premières de l’Afrique. En revanche, l’Afrique n’en est pas à ce niveau de dépendance consubstantielle.
À ce que je sache, l’Afrique, sans vouloir vivre en autarcie, n’en demande pas moins que de vivre librement sa souveraineté, sans interférences paternalistes et ni ingérences. D’aucuns aimeraient voir en l’Homme noir, un immature incapable de s’autogérer et sempiternellement soumis à l’imposture d’une «aide fatale», au sens de Dambissa Moyo. Venance Konan dit à ce sujet : « Si le Noir ne veut pas se tenir debout, qu’on le laisse tomber. Mais tout ce que je demande, c’est qu’on ne l’empêche pas de se tenir debout.»
Celui qui se prend pour le Maître du monde, n’est qu’une émanation de sa DÉPENDANCE pour ceux qu’il CROIT être ses esclaves. C’est là toute l’ironie de « la dialectique du maître et de l’esclave», ce dernier étant devenu si indispensable au premier qu’il n’arrive plus de s’en passer.
Au bout de cette réflexion, on est en droit de s’interroger : Lequel de l’Afrique et de l’Occident présente des signes de manque quant à l’addiction pour l’autre ? En d’autres termes, qui ne supporte mal de vivre sans l’apport de l’autre ? Qui multiplie les efforts et les stratégies pour ne pas perdre les avantages tirés de l’autre ?
Des questions faciles auxquelles l’audace de SAVOIR peut répondre pour se libérer de la naïveté de CROIRE.
Bibliographie
• Buttoud G. et J.C. Nguinguiri (éds). 2016. La gestion inclusive des forêts d’Afrique centrale : passer de la participation au partage des pouvoirs. FAO-CIFOR : Libreville-Bogor.
• Cotula L. et Vermeulen S. 2009 Accaparement de terres ou opportunité de développement. IIED briefing, Sept. 2009.
• COMIFAC, Sub-regional guidelines for the participation of local and indigenous communities and NGOs in sustainable forest management in central Africa, policy series n°3, 2015, p.1.
• FAO. 2016. Vivre et se nourrir de la forêt en Afrique centrale. Rome, Italy.
• Rapport sur l’état de la transparence dans le secteur forestier en Afrique Centrale, février 2018
• Prudence Fournier, Alain Karsenty « États “défaillants” : le secteur forestier en Afrique centrale », Mondes en développement 2008/3 (n° 143), p. 43-56. DOI 10.3917/med.143.0043.
1. RAPPORT SUR L’ETAT DE LA TRANSPARENCE DANS LE SECTEUR FORESTIER EN AFRIQUE CENTRALE, Centre pour l’Environnement et le Développement (CED), Février 2018, p.2.
2. Alain KARSENTY et Prudence FOURNIER, États « défaillants » : le secteur forestier en Afrique centrale in Mondes en Développement Vol.36-2008/3-n°143.
3. La forêt procure également d’autres produits tels que la nourriture (denrées, épices et condiments), les plantes pour la pharmacopée traditionnelle, les huiles, les vêtements (en écorces, feuilles, plumage ou peaux d’animaux), le gibier et les insectes comestibles. Ces produits ont longtemps été appelés «secondaires» ou PFNL.