Les nègres de maison complexés et corrompus se sont illustrés négativement une fois de plus, ce dimanche 2 octobre 2022, sur une chaîne de télé à la vente de l’imposteur Ouattara. Ils se sont permis d’accuser les Africains qui soutenaient les courageux dirigeants maliens d’être des panafricanistes de pacotille stipendiés par Moscou.
Si cette chaîne était un tant soit peu sérieux, la dame qui y distribuait la parole aurait demandé à ces abrutis et affamés entretenus avec l’argent volé par Ouattara au peuple ivoirien d’apporter les preuves de leurs accusations, mais que peut-on attendre d’un régime qui ne promet que les cancers et les médiocres ?
Sur le visage des adeptes du mythomane, je n’ai pas vu autre chose que la peur. Ils ont peur de voir leur « maître et seigneur » subir le même sort que Damiba qui passe son temps à ruser avec le peuple burkinabè. Ils craignent que le feu de la liberté et de la souveraineté qui s’est allumé à Bamako et à Ouaga ne gagne Abidjan, car ils sont conscients qu’il n’y a jamais deux sans trois. Leurs propos mensongers et condescendants, ce dimanche, n’avaient pas d’autre but que d’exorciser la peur qui s’est emparée d’eux.
On peut comprendre qu’ils avaient peur pour eux-mêmes et leurs familles, mais la peur n’a jamais arrêté ce qui doit arriver. Le régime maudit qu’ils ont servi avec autant de zèle est parvenu à sa fin. Et ce n’est ni leur morgue, ni leurs rodomontades qui empêchent l’inéluctable.
Je serais à leur place que je commencerais à gagner avec Ouattara une place dans l’avion qui exfiltrera le dictateur venu de Sindou, au cas où les Ivoiriens ne réussiraient pas à l’attraper comme un rat.
Il faudra qu’ils partent avec lui car le peuple ivoirien qu’ils ont trahi sera sans pitié pour eux.
Jean Claude Djereké