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Clément Atangana

Dans quelques jours, le sort des candidats recalés par Elections Cameroon (Elecam) sera tranché par ce magistrat hors hiérarchie, et non moins président de la Cour constitutionnelle du Cameroun.

Il lui reviendra alors l’honneur et la charge de dire si oui ou non les personnalités dont les dossiers de candidatures ont été rejetées le 07 août dernier peuvent prendre place dans les starting-blocks de la présidentielle d’octobre prochain. En rendant sa copie, il enlèvera le monopole séculaire de ce travail à la Cour suprême.

Des observateurs prédisent que ce natif du Nyong-et-So’o ne sortira de cette exclusive responsabilité historique que glorieux ou ratatiné. Parce que c’est une «grande affaire», disent-ils. Et il lui faudra être digne de son destin. Ce destin qui l’a expédié en apesanteur dans l’espace électoral.

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