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Complexe multifonctionnel Mundi : Le fisc autrement plus gai

A Ntoun (banlieue au Sud de Yaoundé), les employés de l’administration fiscale se dotent d’un espace de détente sur un domaine étalé sur une douzaine d’hectares.

 

Quelques images fortes de la cérémonie d’inauguration

Deux stades de football avec tribunes de 1000 places assises, deux aires de volleyball, deux aires de basketball, quatre aires de Tennis, une piste d’ athlétisme de 6 couloirs, deux piscines olympiques, un hôtel 3 étoiles de 56 chambres et 4 suites, un restaurant, un espace vert équipé de bancs publics. De façon ramassée, voilà le Complexe multifonctionnel de la Mutuelle nationale des personnels des Impôts (Mundi) inauguré le 14 novembre 2020 par Louis Paul Motaze, ministre des Finances (Minfi).

 

Le joyau architectural est niché à Ntoun à 10 km de Yaoundé, sur la route Mbalmayo. Selon Dorothy Agbor Nkom, directeur exécutif, l’ouvrage s’étale sur douze hectares acquis auprès de 4 familles autochtones. Débutés le 27 juillet 2017, les travaux ont duré un peu plus de trois ans. Bien que réceptionnés, ces travaux sont loin d’être achevés. La Mundi annonce le début imminent du chantier de construction d’une salle des fêtes et conférences, l’aménagement des boukarous, d’un gymnase, des aires des jeux pour enfants et d’autres espaces verts. Et Modeste Mopa Fatoing, directeur général des Impôts (DGI) et président du conseil d’administration de la Mundi de se projeter : «Ntoun est décidément touché par une grâce providentielle et promis de ce fait à un très bel avenir». 

Louis Paul Motaze, «voici un Complexe où nous tous devons-nous retrouver pour chasser le stress que nous accumulons toute la semaine. Nous devons passer ici à Ntoun pour nous distraire et nous refaire la santé. Pas seulement les Impôts, mais les personnels des Finances, et de tout le pays. Il s’agit d’un important investissement que nous mettons à la disposition de tous les Camerounais. J’exhorte les dirigeants de la Mutuelle des personnels des Impôts, et je ne doute de rien, de veiller et bien gérer ces infrastructures. Et de retrousser leur manche pour achever les chantiers restants».

Olivier Bessite, stagiaire

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