78%
D’après un rapport de l’Agence nationale des technologies de l’information et de la communication (Antic), ce taux est celui des administrations publiques camerounaises vulnérables aux attaques cybercriminelles. Le document (dont Intégration a eu copie) souligne que les systèmes d’information de ces administrations sont exposés à 68 000 risques d’attaque, du fait de l’utilisation des logiciels non authentiques. Par exemple, signale l’Antic, de multiples vulnérabilités ont été découvertes dans les produits Juniper. Certaines d’entre elles permettent à un attaquant de provoquer une exécution de code arbitraire à distance, une exécution de code arbitraire et un déni de service à distance.