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C’est le surplus qui risque faire mousser le prix des produits brassicoles fabriqués au Cameroun. C’est en tout cas la proposition faite aux pouvoirs publics par le Groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam). Cette organisation dit vouloir « atténuer les effets de la conjoncture internationale ‘hausse des prix des matières premières, du fret, du fuel et des engrais) dans certaines filières de production ». « L’industrie brassicole utilise massivement des matières premières, des emballages, des équipements et des pièces de rechange majoritairement importés, l’offre locale étant soit insuffisante soit inexistante (…). Sa dépendance aux importations pour environ 50% de son coût de production fait qu’elle est exposée aux facteurs exogènes », explique le Gicam.

 

 

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